Sophrologie
J’ai grandi à la campagne et j’ai gardé un lien très fort avec la nature.
C’est même vital pour moi.
Au fil des ans, j’ai accumulé les cailloux transmis par mes parents, mes ancêtres et tous ceux plus ou moins gros que j’ai ramassés au cours de mes expériences de vie. Je pourrai même dire que certain ressemblaient plus à des menhirs !
La vie mouvementée de femme mariée, puis divorcée, élevant ensuite seule ses enfants tout en conciliant travail, périodes de chômage et toutes les tâches du quotidien….
Bref, je voulais être Superwoman, je ne m’accordais pas le droit de tomber malade.
Quand le sac de cailloux devient beaucoup trop lourd à porter, il est difficile d’avancer et le corps lance des alertes pour dire : « Attention, ralentis ! ».
J’ai frôlé le burn-out à plusieurs reprises jusqu’à ce que je découvre la sophrologie.
Ayant auparavant entrepris un travail de développement personnel, les séances de sophrologie m’ont apporté ce que je ne trouvais pas ailleurs : des temps de pause centrés sur mon intériorité, de lâcher-prise total. J’ai enfin compris que prendre soin de soi, c’est avant tout écouter son corps, ses ressentis sans analyse et sans jugement pour pouvoir être en harmonie avec sa conscience.
Les techniques de relaxation dynamique et plus spécifiques comme le déplacement du négatif, la somatisation du positif m’ont aidée à me libérer de mes cailloux encombrants et de jeter au fur et à mesure les nouveaux que je ramasse sur mon chemin.